Subtiles jubilations…
Les jubilations euphoriques des premières découvertes en équitation élémentaire sont sans aucun doute déjà issues des premières subtilités d’expressions perçues par les dosages du touché des différentes parties du corps du cavalier avec celles du cheval, qui provoque la perception en retour des différentes sensations exprimant l’accord ou le désaccord du cheval en ce qui concerne exclusivement cette action précise.
Avec beaucoup d’obstination dans le travail de recherche, faisant place à des périodes de découragement suivies par d’autres semblant négatives, mais qui malgré tout marquait notre sensibilité de découvertes inattendues, remarquables et remarquées bien longtemps après les moments de mise en pratique sur le cheval, puis ce fut l’apparition du premier miracle :
La période d’obstination de résultats quasi immédiate ayant fait place finalement à un travail répétitif sans conviction, mais existant réellement, le miracle se produisit, et je finis par ressentir un rassembler qui avait commencé depuis longtemps mais qui maintenant entrainait un fléchissement du rein, une maitrise des cadences n’obéissant plus qu’à un balbutiement du souffle de la botte.
Ces observations remirent en question les subtilités et l’attention portée aux dosages de mes aides ainsi qu’un surcroit d’écoute de mon cheval avec l’éveil de tous mes sens, puis ce fut la seconde partie du miracle.
Un passage fabuleux avec une séparation des diagonales et un temps de suspension, avec un dos qui n’en finit pas de monter. Alors, la jubilation des premières années de travail firent place à la chair de poule puis à l’extase absolue, que je souhaite à tous.